July 9, 2018
Werklund School hosts French Language Symposium
On June 8th 2018, the Werklund School of Education hosted a one-day French language symposium in Edmonton. The purpose of the day was to examine the challenges, as well as the opportunities, that will come with Alberta Education’s decision to introduce Francophone perspectives into six subject areas including Math and Science. Attended by over 40 educators, academics, and community leaders from the Francophone community, the event was organized around findings from a recent study by Raphaël Gani and David Scott. This study found that English-speaking teachers have been resistant to the inclusion of Francophone perspectives in social studies for three key reasons:
- no perspectives can be identified due to the diverse nature of Francophone people and communities in Canada;
- only educators who are Francophone can authentically offer insights into or teach Francophone perspectives; and
- Francophone perspectives should not be given special attention, as all cultural perspectives in Canada should be given equal treatment.
Through presenting this research, participants had the opportunity to deliberate and discuss a number of key questions. This included what values, beliefs, and understandings might be common to Francophone nations in Canada. Participants also discussed the need for a rational to help English-speaking teachers understand why Francophone perspectives are named and highlighted in the program, while other cultural groups are not.
Overall, the day was a tremendous success as can be seen by the widespread media coverage it garnered.
Werklund accueille un symposium sur la langue française sur l'introduction des perspectives francophones dans six domaines
Le 8 juin 2018, l'École d'éducation Werklund a organisé un symposium d'une journée en langue française à Edmonton. Le but de la journée était d'examiner les défis ainsi que les opportunités qui viendront avec la décision d'Alberta Éducation d'introduire les perspectives francophones dans six domaines, y compris les mathématiques et les sciences. Accompagné de plus de 40 éducateurs, universitaires et représentants communautaires de la communauté francophone, l'évènement était organisé autour des résultats d'une étude récente de Raphaël Gani et David Scott. Cette étude a révélé que les enseignants anglophones résistent à l'inclusion des perspectives francophones dans les études sociales pour trois raisons principales:
- aucune perspective ne peut être identifiée en raison de la diversité des populations et des communautés francophones au Canada;
- seuls les éducateurs francophones sont en mesure d'offrir des perspectives authentiques ou d'enseigner les perspectives francophones; et
- Les perspectives francophones ne devraient pas faire l'objet d'une attention particulière, car toutes les perspectives culturelles au Canada devraient bénéficier d'un traitement égal.
En présentant cette recherche, les participants ont eu l'occasion de délibérer et de discuter d'un certain nombre de questions clés. Cela comprenait les valeurs, croyances et compréhensions qui pourraient être communes aux nations francophones du Canada. Les participants ont également discuté de la nécessité d'une approche rationnelle pour aider les enseignantes et enseignants anglophones à comprendre pourquoi les perspectives francophones sont nommées et soulignées dans le programme, tandis que les autres groupes culturels ne le sont pas.
Dans l'ensemble, la journée a été un énorme succès, comme en témoigne la couverture médiatique généralisée dont elle a bénéficié.